des ressources, des liens , des informations utiles pour se connaître
la volonté d'enrichir sa pratique en remettant en question, en faisant le tri, en faisant des liens
l'apprenti-sage passe par la connaissance de soi
LES INTELLIGENCES MULTIPLES
d'un point de vue purement étymologique, l'intelligence serait la faculté de comprendre les choses. Il existe aujourd'hui neuf formes d’intelligence, correspondant chacune à un talent, une aptitude spécifique. c’est une grille de lecture pour mieux nous connaître, pour mieux comprendre les autres, pour mieux agir dans notre vie professionnelle ou personnelle. Nous sommes intelligents mais pas de la même façon. Les intelligences sont regroupées en quatre types : les intelligences d’actions (interpersonnelle et intrapersonnelle), scolaires (linguistique et logico-mathématique), environnementales (naturaliste et musicale) et méthodologiques (visuo-spatiale et kinesthésique) et se déclinent en neuf types :
linguistique - logicomathématique - intrapersonnelle - interpersonnelle - visuospatioale - kinésthésique - musicale - naturaliste - existentielle
https://www.intelligences-multiples.org/
https://apprendreaeduquer.fr/intelligences-multiples-gardner/
https://www.mieux-apprendre.com/blog/2018/05/10/a-quoi-servent-les-intelligences-multiples-quand-on-est-bon-a-lecole/
CRÉATIVITÉ & CERVEAU
" en neurosciences la créativité est définie comme la capacité de créer quelque chose de nouveau et adapté à un contexte. Le facteur majeur pour la créativité sont les émotions. Savoir identifier ses émotions, les nommer et les canaliser est donc un acte fondamental dans tout processus de changement. "
https://institutducerveau-icm.org/fr/creativite-neuroscience/
https://www.youtube.com/watch?v=jWJCJ4vPy_4
https://www.cairn.info/de-l-art-therapie-a-la-mediation-artistique--9782749247212-page-15.htm
" nos émotions, notre humeur, notre capacité de concentration, notre mémoire sont stimulées par le beau. Focus sur les effets des expériences imaginatives et sensorielles provoquées par l’art sur notre cerveau.
Quand nous contemplons une œuvre, la production de l’hormone du stress, le cortisol, diminue. Puis le cerveau sécrète de la dopamine, l’hormone de la joie de vivre et des endorphines, qui procurent une impression de bien-être. L’effet de l’art sur notre cerveau serait comparable à celui de la drogue ou du sexe, et ce, quelle que soit la source, visuelle, auditive ou même mathématique. Quelle région cérébrale est activée ? La zone A1 du cortex orbitofrontal médian. Et contrairement aux autres stimuli extérieurs, seule la beauté obtient un accès « privatif » à la zone du cerveau impliqué dans la perception de soi. Voilà pourquoi l’art thérapie propose aussi de travailler sur l’estime de soi et la confiance en soi. "
https://www.capsuledart.com/neurosciences-comment-lart-nous-guerit/
https://www.franceculture.fr/sciences/neurosciences-comment-lart-nous-guerit
https://www.levif.be/societe/sante/les-multiples-bienfaits-de-lart-sur-la-sante/
GRAPHOTHÉRAPIE
"la graphologie, qui est un fidèle révélateur de la psyché et de la personnalité à donné naissance à la graphothérapie, qui postule qu’un travail sur l'écriture peut contribuer à transformer la psyché et les comportements. Aujourd’hui, la graphothérapie et plus particulièrement la graphothérapie symbolique sont des outils de croissance pour les adultes et les adolescents. "
Si bien qu'en Europe, on ne consulte pas le graphothérapeute uniquement parce qu'on a un problème d'écriture, mais aussi pour des troubles affectifs ou du comportement. La théorie qui sous-tend la graphothérapie met à profit les découvertes concernant le cerveau droit et le cerveau gauche. Bien que le langage humain et toute la sémantique qui le soutient relèvent de l'hémisphère gauche (associé à la rationalité), le geste de l'écriture manuscrite fait aussi appel à l'hémisphère droit (associé à l'intuition et à l'irrationnel). En effet, il se rapproche du dessin, du geste artistique, et il implique une foule de réflexes corporels et psychiques inconscients. Par conséquent, par l’écriture manuscrite, on pourrait entrer en contact avec une partie de sa psyché qui relève habituellement de l'inconscient.
Ainsi, l'analyse et l’observation de sa propre écriture permettraient, par exemple, de faire ressurgir des souvenirs d'enfance à l'origine de diverses dépendances affectives ou psychiques, ou de lever le voile sur des aspects méconnus de sa personnalité. Par la suite, en transformant sa façon d’écrire et à l’aide de divers exercices graphiques, on pourrait, par une sorte de rétroaction, agir sur sa psyché, et conséquemment changer des attitudes ou des comportements nuisibles. L’exemple classique, et bien sûr un peu réducteur, est de s’efforcer de placer volontairement et consciemment les barres de nos T plus haut, ce qui nous aiderait à adopter une attitude plus déterminée et plus confiante pour affronter nos défis quotidiens. "
https://www.passeportsante.net/fr/Therapies/Guide/Fiche.aspx?doc=graphotherapie_th